... C'est bien là le titre de mon nouveau roman, à paraître très bientôt aux Éditions Ovadia, dans la collection Histoires et Destinées – très appropriée à cette histoire-là. Un titre à la consonance musicale, que certains fredonneront peut-être...
Une nouvelle parution suscite chez les auteurs une grande émotion, très semblable à celle qui accompagne une naissance – d'ailleurs ils, comme elles, parlent souvent de leur "dernier bébé" pour y faire référence. Je la ressens aussi au moment de partager ici quelques informations essentielles sur ce roman. Et, avant toute chose sa couverture, dont on se doute bien qu'elle a été l'objet de beaucoup de travail, de réflexion, de questionnement, etc. La voilà, concoctée à partir du beau travail de Jacques Lefebvre-Linetzky.
Qu'y voit-on ? Non, pas un chapeau cloche, mesdames, mais un casque, tel qu'en portaient les soldats britanniques, lors de la Seconde Guerre mondiale... Et puis une terre labourée de pourpre, d'ocres, des lettres imprimées, des bribes de mots, l'écume des vagues et, derrière, le ciel, bleu. Celui de Nice, peut-être ? Mystère...
Voilà pour ce qui est de l'accroche visuelle.
Ensuite, il faut savoir à quel point il est difficile pour un éditeur, un auteur (et pour une auteure aussi !) de résumer le sujet du livre, afin de le rendre attirant, sans pour autant en déflorer le cœur. Le résultat se lit sur cette fameuse 4ème de couverture : la face de l'ouvrage que l'on voit quand on le retourne après avoir été séduit par sa 1ère de couverture (bon, sauf si on est publié dans la collection blanche de Gallimard, bien entendu !).
Je la recopie ici afin qu'elle soit lisible :
Ce roman met en lumière la trajectoire authentique de ces engagés juifs allemands de l’AUXILIARY MILITARY PIONEER CORPS britannique, qui ont participé entre 1939 et 1945 aux combats de la Seconde Guerre mondiale, notamment en France et en Méditerranée ; mais il révèle également la manière dont les artistes éprouvent, et surmontent par le biais de la création, les tourments politiques de leur époque.
Voilà. Je n'en dis pas davantage aujourd'hui. Vous en savez déjà autant que les visiteurs à venir du Festival du Livre de Nice 2019. Il est, cette année, sous le signe du cinéma, et il me semble que ce livre possède aussi une dimension cinématographique.
J'espère vivement vous y retrouver, le 1er week-end de juin, et vous inspirer le vif désir de découvrir les quelque 234 pages de cette aventure très particulière, qui est, je vous le confie déjà ici, le fruit d'années de recherches en la matière... et de mon imagination, bien sûr : c'est d'abord, et avant tout, un roman !
Qu'y voit-on ? Non, pas un chapeau cloche, mesdames, mais un casque, tel qu'en portaient les soldats britanniques, lors de la Seconde Guerre mondiale... Et puis une terre labourée de pourpre, d'ocres, des lettres imprimées, des bribes de mots, l'écume des vagues et, derrière, le ciel, bleu. Celui de Nice, peut-être ? Mystère...
Voilà pour ce qui est de l'accroche visuelle.
Ensuite, il faut savoir à quel point il est difficile pour un éditeur, un auteur (et pour une auteure aussi !) de résumer le sujet du livre, afin de le rendre attirant, sans pour autant en déflorer le cœur. Le résultat se lit sur cette fameuse 4ème de couverture : la face de l'ouvrage que l'on voit quand on le retourne après avoir été séduit par sa 1ère de couverture (bon, sauf si on est publié dans la collection blanche de Gallimard, bien entendu !).
Je la recopie ici afin qu'elle soit lisible :
Margot, romancière niçoise d’origine allemande, est contaminée par les élans suicidaires d’Irène, sa dernière héroïne. Secouée par son mari Adam, puis par sa rencontre avec le vieux sculpteur Siegfried Broch, elle décide de raconter la vie de ce dernier, un homme hors du commun. Avec son aide, elle entame alors une enquête passionnante qui l’amènera à reconstituer le parcours méconnu d’une compagnie de volontaires juifs allemands engagés dans l’armée britannique pendant la Seconde Guerre mondiale. De Berlin à Tel Aviv, de Saint-Malo à Alexandrie, en passant par la Libye, la Grèce, la Crète et l’Italie, ce voyage dans l’Histoire sera aussi l’occasion pour Margot de revisiter son propre passé, tout en révélant avec un humour grinçant les faces cachées de son travail d’écrivain.
Voilà. Je n'en dis pas davantage aujourd'hui. Vous en savez déjà autant que les visiteurs à venir du Festival du Livre de Nice 2019. Il est, cette année, sous le signe du cinéma, et il me semble que ce livre possède aussi une dimension cinématographique.
J'espère vivement vous y retrouver, le 1er week-end de juin, et vous inspirer le vif désir de découvrir les quelque 234 pages de cette aventure très particulière, qui est, je vous le confie déjà ici, le fruit d'années de recherches en la matière... et de mon imagination, bien sûr : c'est d'abord, et avant tout, un roman !
Vous me trouverez sur le
stand éditeur n°10