En vol

En vol
Image de la superbe chaise de l'artiste SAB

mardi 30 décembre 2014

CADEAUX DE GRATITUDE, AFIN QUE VIVE 2015 !




Afin d'entamer 2015 avec optimisme, je vous propose aujourd’hui un album d'images pour illustrer les douze mois de l’année qui vient de s’écouler. Elle a comporté des moments sombres, qui ne sont pas ceux que je souhaite conserver en mémoire – ce serait contraire à l'esprit de ce blog, dont je sais que vous êtes nombreux à l'apprécier (... me dit Mr Google, qui voit tout :-)

Allons-y donc.



 Certains diront, zut ! Voilà la pluie qui arrive.
Mais non, ce n’est que le mariage du bleu et de l’argent. Le soleil est juste derrière ce gros nuage, c’est sûr, il va sortir.

 Vue depuis Rauba Capeù, NICE

Certains diront, ce cliché est fort banal, et flou, de surcroît.
Mais non, ce n’est que le reflet de ma myopie, si confortable. Elle masque les défauts. Même qu’à mes yeux, vous qui lisez ceci, n’en avez aucun ! Ou alors autant que cette perspective. 

mardi 23 décembre 2014

UN VŒU PIEUX



« Est-ce que quelqu’un s’est-il aperçu de ça ? Quelqu’un sur Paris, peut-être ? »

Ou bien c’est juste un truc « très perso » ?

...Parce que j’en arrive parfois à me demander qui a tort et qui a raison en la matière, et si autrui pense que je marche sur la tête, à souhaiter observer la grammaire et / ou le bon usage.
Notez que faire les deux, par les temps qui courent, semble être de l’ordre de l’impossible, un peu comme si l'on criait sur les toits « Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté » voire « Buvons à la vie – L'Chaïm ! – au lieu d’appeler à la guerre sainte en fonçant sur un ou plusieurs innocents.

Le raccourci ne l’est pas, du reste, innocent. Car j’ai appris il y a peu que ceux qui se veulent respectueux de la langue (quelle qu’elle soit) sont maintenant affublés du nom de « Grammar Nazis ». Traduction inutile.

L’explication : ces amoureux de la langue sont accusés de vouloir tuer ceux qui la dénaturent. Ces derniers font fi des règles d’accord des participes, quels qu’ils soient, et encore plus de la distinction entre futur et conditionnel – mais ce ne sont là que des exemples parmi d’autres. 

mardi 16 décembre 2014

HERRING: A LOVE STORY - its story




Well, that is some news.

How can one fall in love with a herring, you’ll wonder.
Easy.
All you have to do is:
Start young, very young.
Have a parent who feeds you the fish till it comes out of your ears – and still like it.
Find yourself a sister soul (or rather a brother soul) with whom you’ll share this unconditional love.

mardi 9 décembre 2014

POUR FAIRE LA FÊTE AVANT LES FÊTES

Et même pendant... 


Bref billet ce jour. Je souhaite signaler divers événements à venir, et donner un ou deux liens sur lesquels cliquer quand vous en aurez envie. 

1) Une expo de mon illustrateur favori, Jacques Lefebvre-Linetzky. Elle commence le 16 décembre, et en voici la belle affiche. Coup double, car deux artistes complices y présenteront leurs œuvres. JL+L et Paul Conte. De l'émotion, du talent, de l'amitié... Que dire de plus, sinon : ne la manquez pas !


2) Trois jours de folie à Grasse, dans la galerie marchande du Centre Leclerc, près du Plan de Grasse. De nombreux auteurs y sont attendus, et y dédicaceront leurs ouvrages. 

J'y serai aussi, les 19, 20 & 21 décembre avec "Rêves de Hareng" – non, j'écris n'importe quoi :

RÊVES DE RENCONTRES SUR LA RIVIERA, et HARENG : UNE HISTOIRE D'AMOUR.

Si vous ne savez encore rien de ces deux ouvrages, ayant vécu la tête dans un sac depuis six mois et surtout en ayant évité mes messages pendant tout ce temps, je vous invite à découvrir les très jolies choses qui ont été dites à leur propos : ICI &



3) Pour les autres cadeaux de fin d'année (choisissez vos dates, ici on est très œcuménique) je vous signale quelques conseils judicieux qui vous éviteront de commettre des gaffes irréparables, ICI. = Et bienvenue chez les Boomeuses.  

4) Les Parisiens ont de la chance. Hareng frétille dans son quartier de prédilection. Courez le rencontrer, c'est son père qui le dédicacera cette fois. 



5) ... eh bien pour l'instant, ce sera tout. Je vous avais dit que ce serait bref. Une fois n'est pas coutume, hélas pour vous.  ;-) 

Bonne semaine !

ZÉRO POINTÉ.




Qui se souvient encore de cette expression, et surtout de se l’être entendu adresser ? La honte qui l’accompagnait n’avait d’égale que la crainte des représailles familiales, car, brave gens, je vous parle d’un temps où les parents ne donnaient jamais tort aux professeurs de leurs enfants. Si, si, je vous assure, ça a existé.



En ce temps-là, les enfants recevaient même des bons points qu’ils collectionnaient, quand ils ne les reperdaient pas pour bavardage intempestif. Et, pire, les enfants étaient classés ! Quelle horreur c’était quand on régressait d’une place, ou qu’on gardait celle de bon dernier toute l’année, avec pour seule consolation, en hiver, celle d’être collé au radiateur ! Curieusement, ceux et celles qui le racontent ne semblent pas en conserver un si mauvais souvenir…


Du rosé (au moins) a coulé sous le pont du Var depuis lors, mais je n’ai pas l’intention de jouer la vieille garde, ni les vieilles conservatrices, à peine les vieilles profs. Juste pour exprimer deux ou trois idées qui me traversent le cerveau en apprenant que, miracle, on va supprimer les notes à l’école. Enfin, essayer.

lundi 1 décembre 2014

ROMAIN GARY, TENDRE GUERRIER



Vendredi dernier se sont tenues à Nice, au Centre Universitaire Méditerranéen, deux journées de colloque autour de l’écrivain Romain Gary.
Tout le programme (et la liste des invités) en avait été annoncé ici.

Gary et la Méditerranée, Gary et la guerre, Gary et les femmes – tels ont donc été les thèmes abordés lors de la seule demi-journée à laquelle j’ai pu assister. 

Le compte-rendu détaillé de ce colloque sera très certainement publié bientôt, et mon propos n’est pas ici de retranscrire mot pour mot ce qu’ont dit les brillants intervenants. Ce serait inutile, voire ennuyeux. En revanche, j’ai très envie de relever certains des points qui ont été évoqués et de les passer à la moulinette de mes émotions – à défaut de celle de ma pensée !

Je vais commencer par la fin : En partant, j’ai entendu une dame dire à une amie qui l’accompagnait : « Je me suis crue à l’école, en pire ». Et là, je me suis dit que décidément j'avais dû être une élève très docile, car je ne me suis pas ennuyée une seconde pendant les quatre heures où je suis restée dans cet amphithéâtre. Ou alors que cette personne ne devait pas être sensible aux mêmes choses que moi, pour être ainsi passée à côté de ce qui m’a paru être le caractère original et essentiel de ce colloque.

mercredi 26 novembre 2014

POURQUOI AIMER SCANDAL?






Pourquoi ? Parce que. Mais encore ? 
Accrochez-vous, dithyrambe suit !  

Cette série américaine est un régal délicieusement addictif. À l’instar de Lillyhammer, ou des regrettés Sopranos (mentionnés ici, l'an dernier), elle exécute le tour de force de nous rendre sympathiques des gens à qui nous ne serrerions pas volontiers la main, même chez nos meilleurs potes – tant leur sens moral est fluctuant.
À vrai dire, et forcément, c’est cela qui fascine.


jeudi 13 novembre 2014

HARENG : UNE HISTOIRE D'AMOUR

LE VOILÀ !



Il a pris beaucoup de temps, beaucoup de soin, d'énergie, et d'attention à chacune de ses écailles de papier, mais le voilà enfin arrivé sur nos côtes. 

Pourquoi le hareng ? nous demande-t-on souvent, avec un brin  d'incompréhension, voire de sarcasme. 

Nous n'en dirons rien ici, car c'est précisément dans ce beau livre que vous trouverez les réponses à toutes les questions que vous vous êtes jamais posées sur ce poisson, et même à celles que vous n'imaginiez pas un jour avoir envie de poser ! 

Je vous confierai seulement qu'en faisant nos recherches, à partir de la merveilleuse collection de terrines à harengs – dans lesquelles on les faisait mariner avant de les servir – de mon ami et co-auteur Daniel Rozensztroch, nous en avons découvert de belles à son sujet ! 
Nous avons passé en revue : son histoire, ses amis, ses ennemis, ses faux-amis, son langage, son humour, ses voyages, sa culture (et les nôtres), et même les façons de l'absorber. Nous qui pensions tout savoir à son sujet, nous n'en sommes pas revenus. 

Le plaisir de la découverte sera aussi – nous l'espérons – pour vous, quand vous l'aurez en main et que vous le feuilletterez. Vous n'aurez plus, comme nous, qu'une seule idée : le dévorer !

En attendant, surveillez mon agenda pour ne pas rater son passage commenté sur vos rivages – mais ne craignez rien, amis auvergnats ou parisiens, il  saura aussi nager tout seul jusqu'à l'intérieur des terres, et où que vous soyez, tout comme l'ont fait ses ancêtres en sauvant, au passage, de la famine des millions d'êtres humains

Rien que pour cela, le hareng mérite bien cette manifestation de notre entière gratitude.



HARENG : UNE HISTOIRE D'AMOUR
Daniel Rozensztroch et Cathie Fidler
Éditeur : Suzanne Slesin
Directeur artistique : Frederico Farina

Éd. Pointed Leaf Press, NY.
Disponible dans toutes les librairies, et sur les sites marchands habituels.


Inédits ! 
En cadeau de bienvenue
cette carte postale ancienne 
et une affiche  (prise sur ce site) pour annoncer deux
des nombreux aspects que ce livre couvre. 



(NB : À ne pas manquer, si vous êtes proches de la Normandie, ces fêtes là.

DERNIER AJOUT : UNE INTERVIEW SUR HARENG, CHEZ LE P'TIT ÉCRIVAIN. 

mercredi 5 novembre 2014

BEA GREEN & LE KINDERTRANSPORT


Pour compléter le billet précédent, vous trouverez aujourd’hui quelques phrases confiées par un témoin direct du Kindertransport : BEA GREEN. 
Avec son autorisation, je cite auparavant son cas et ses commentaires, traduits de l'anglais.

Bea Green avait 14 ans lorsqu’en 1939 elle monta à bord d’un train qui l’emmènerait loin de ses parents, mais aussi loin de Munich et de ses dangers. Une photo d’elle existe, conservée par le Jewish Museum de Londres, la montrant, avec une autre plus petite fille, dans le train sur le point de quitter la gare de Munich.


Photo prise sur ce site. Photo de droite : Bea est à droite
  
Le commentaire de Bea :

"J'avais commencé à apprendre l'anglais et j'avais hâte de venir ici. Ce n'est que lorsque le train s'est mis à rouler, que j'ai été saisie d'angoisse à l'idée de ne plus jamais revoir mes parents. Sur cette photo, je suis encore contente. Mais quand on a commencé à s'éloigner j'ai vu ma mère sortir un mouchoir et se cacher derrière mon père, en espérant que je ne le remarquerais pas. C'est alors que la réalité m'a frappée." 

Ce départ était sa dernière chance.

mardi 28 octobre 2014

KINDERTRANSPORT : HONNEUR AUX BRITANNIQUES




Mémorial de Frank Meisler
devant la gare de Liverpool Street, à Londres. 
Photo Wikipedia. 

L’action de l’association appelée Yad Vashem est bien connue dans le monde, et en France en particulier. Elle a pour but d’honorer, en leur remettant la médaille de Juste Parmi les Nations, ceux et celles qui, au péril de leur vie, ont sauvé des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

Certes, le danger était grand de protéger ceux qui étaient traqués et recherchés par la police (en France) et la Gestapo (dans tous les pays occupés).
Aujourd’hui, les Justes, tout comme leurs descendants, rappellent avec humilité qu’ils n’ont fait « que leur devoir ». Qu'ils en soient néanmoins remerciés.

En France, 3760 personnes ont été ainsi honorées par le Comité Yad Vashem. Et un village tout entier : Le Chambon sur Lignon, en terre cévenole et protestante. 



Toutefois, en observant ici la liste des Justes du monde entier, et celle des pays concernés, je suis surprise de ne pas y voir figurer la Grande Bretagne.

On me dira que, cette île n’ayant pas été envahie par l’ennemi, le sauvetage des Juifs n’avait pas de raison d’être dangereux pour quiconque l’eût entrepris.
Cette distinction me choque.

mardi 21 octobre 2014

ON NE FAIT PAS JUSTE PARTIE DES MEUBLES !


En se promenant dans les boutiques d’ameublement on se rend compte d’un certain nombre de faits concernant leur évolution.

Tout d’abord que peu d’entre elles se contentent, comme dans le temps, de vendre du mobilier et rien que du mobilier.

Non, à présent (et depuis un bon bout de temps tout de même), les meubles côtoient allégrement tous les objets de la maison, vaisselle, literie, tapis et luminaires. Chaque petite boutique est à elle seule un concentré d’Habitat et d’Ikea. Certaines vendent même des vêtements, des chaussures et, pourquoi pas, des pantoufles. Parfois elles se font traiter de concept store, sûrement parce qu’elles visent les intellos bobos. (Et, au fait, je les adore !)

Il ne reste presque plus d’endroits qui vendent encore de ce mobilier d’antan en bois faussement vermoulu, ou clinquant de vernis acrylique, imitant le style Louis XV et fabriqué en France.

Dans les nouvelles boutiques branchées, on trouve essentiellement des objets au style contemporain, dépouillés ou très colorés, en métal ou en plastique, pour la plupart fabriqués en Chine.
Style contemporain ?
Faut le dire vite.
Ma dernière virée dans un temple de la consommation m’a convaincue du contraire.

lundi 13 octobre 2014

ÉCRIRE POUR GUÉRIR ?


Voilà une question importante qui a été abordée lors d’un récent café-littéraire à la librairie Charlemagne, de Fréjus. Malheureusement je n’ai pu y assister, mais à la suite de ma propre recherche sur la « bibliothérapie » ou sur les livres qui nous font du bien, je me suis posé à nouveau  cette question. Écrit-on pour guérir ?

mercredi 8 octobre 2014

AGENDA OCTOBRE-NOVEMBRE-DÉCEMBRE


Notez SVP les ajouts suivants :

Le 16 novembre, c'est avec grand plaisir que je participerai au 7ème Salon des Écrivains organisé par l'Institut Séfarade Européen (qui ne se limite pas, semble-t-il, au choix d'écrivains du monde séfarade !) à BRUXELLES, au Centre Communautaire Laïc. Sur une invitation de M. Moïse Rahmani, lui-même auteur de nombreux livres que je vous engage à découvrir, .   

Voir les détails de cette manifestation sur ce site.

Avec l'espoir que cette image y sera présente en 3D !




Comme annoncé précédemment, le 21 novembre, je  retournerai à Fréjus pour une petite communication sur le thème : 
Rêves de rencontres, avec qui et pourquoi ? 
Pourquoi cette fascination des anonymes pour les célébrités ? 
Et aussi : Comment naît parfois une création artistique.



Petit rappel, ici le billet émouvant du P'tit écrivain sur ce recueil de nouvelles.  

Puis, le 30 novembre, je suis d'ores et déjà heureuse de pouvoir annoncer ma participation à la Journée du livre organisée  par la WIZO de Marseille, sous l'égide de sa présidente, Mme Josette Guigui. Cette manifestation a un but caritatif, et les auteurs invités – dont feront partie Albert et Deborah Bensoussan, avec un livre écrit à quatre mains, "Tobie et Leah" – sont heureux de pouvoir y contribuer. 
Elle se tiendra comme toujours à la Maison du Bâtiment, Bd Michelet. Plus de détails en temps utile.

Le 8 décembre, ce sera à la Maison de Judaïsme Elie Wiesel à Nice, dans le cadre des activités culturelles du service PASSERELLES, que je présenterai Rêves de rencontres sur la Riviera ET Hareng : une histoire d'amour
Amateurs niçois, contactez-moi (en commentaire ci-dessous, en laissant vos coordonnées) si vous souhaitez en connaître le  détail. 

Et, pour préparer les fêtes de fin d'année, nous serons nombreux à vous donner rendez-vous, comme l'an dernier, dans la galerie marchande du Centre Leclerc de Grasse. Pour info, Leclerc distribuera généreusement nos petits poissons dans son rayon culturel. Voir ici




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Le 10 octobre, dans le cadre du café littéraire, Gabriella Jérusel interviendra, à la librairie Charlemagne de Fréjus, et elle nous parlera de la "bibliothérapie"ou comment les livres peuvent soigner les maux de l'âme. J'y ajouterai un regard littéraire. Avec, comme d'habitude, la participation du P'tit Écrivain. 


  
Et puis, last but not least... 




À paraître très bientôt, un ouvrage sur lequel je travaille avec mon ami Daniel Rozensztroch depuis un bon bout de temps, et qui ravira les amateurs : 
1) d'art de vivre
2) de collections
3) de faïence, porcelaine & autres barbotines
4) de cartophilie
5) de pêche
6) de sociologie
7) d'histoire 
8) de cuisine
9) de style
10) de cultures, du monde entier

--mais surtout de HARENGS ! 

(livres en anglais ET en français, à paraître chez Pointed Leaf Press, NY)




jeudi 2 octobre 2014

PEER GYNT AU TNN : un renouveau magistral





To see a World in a grain of sand
And a Heaven in a wild flower,
Hold Infinity in the palm of your hand
And Eternity in an hour.
William Blake 
[Auguries of innocence - extrait, 1803]

Voir le monde en un grain de sable,
Un ciel en une fleur des champs,
Retenir l’infini dans la paume des mains
Et l’éternité dans une heure.
[trad. Pierre Boutang]

Éternité ? Il a écrit éternité ?
Quel rapport avec le Théâtre National de Nice ?
Mais si, il y en a un. Vous allez comprendre. 

Après le départ de Daniel Benoincette prestigieuse maison a été reprise par Irina Brook.
La saison 2014-2015 s’est ouverte avec « son » Peer Gynt, et sachant que ce spectacle ne dure qu’un petit mois, il est grand temps que je vous en parle ici.

mardi 23 septembre 2014

FESTIVAL DU LIVRE DE MOUANS-SARTOUX 2014


COMME ANNONCÉ PRÉCÉDEMMENT , ON Y SERA !



Le vendredi 3 octobre, et le dimanche 5 octobre, toute la journée. Sur le stand de la LIBRAIRIE JEAN JAURÈS - Espace Littérature (A), stand A013. 
Voici le plan du Festival : 


Et, bien entendu, n'hésitez pas à vous promener sur son site. ICI

AU PLAISIR DE VOUS Y VOIR, OU REVOIR !
Pour y venir, c'est facile. Regardez donc ici, si vous ne voulez (ou ne pouvez) pas vous y rendre en voiture. 
~~~~~~

Si vous souhaitez en savoir plus sur Rêves de rencontres sur la Riviera, cliquez sur ce lien pour en découvrir une belle analyse. 

LEVIATHAN, tout est (presque) dit entre les parenthèses




Les effets d’un film, tout comme ceux d’un livre, dépassent bien souvent les intentions de son réalisateur. Celui-ci a une idée en tête, et des images qui vont avec, et souhaite que les deux s’accordent afin que le public qui les verra comprenne son message intime.
Mais le public est aussi divers que varié, et ce message-là l’atteint parfois d’une manière fort inattendue.
Une fois de plus, c’est par le prisme de ma propre histoire que j’ai vibré en assistant à Nice à l’avant-première nationale de LEVIATHAN, du réalisateur russe Andreï Zviaguintsev. Ce, dans le cadre du 2ème festival du cinéma russe de Nice.

lundi 22 septembre 2014

WHAT ELSE? POURQUOI PAS : VITE AUTRE CHOSE ?




Alors, comme chacun a pu le découvrir ici, j’ai une admiration sans bornes pour George Clooney et, bien entendu, m’attends à le rencontrer à chaque fois que je pénètre dans le lieu qu’il promeut, à savoir les salons du Club Nespresso.

Il faut avouer que cette marque m’a séduite – et je ne suis pas la seule, à en juger par la foule qui se presse en permanence dans cet endroit "exclusif".

La première raison était que, chez nous, la consommation de café étant assez modérée, ce système de capsules qui gardent intactes toutes leurs qualités s’est avérée un vrai atout.

La seconde étant la facilité et la flexibilité que la machine propose. Certains aiment le café décaféiné, d’autres, semblable à du Ripolin, d’autres encore, un café plus allongé… Il y en a pour tous les goûts au même moment.  Vite fait, bien fait, vite servi.

Troisième argument, et non des moindres, le café ainsi fait est excellent, mousseux et régulièrement réussi, dosé comme chacun l’aime.

Quatrième raison, pour les snobs de mon espèce, le lieu de vente ressemble fort à une bijouterie, et le produit vous y est vendu comme s’il s’agissait de diamants, avec une efficacité redoutable.

Un personnel stylé vous y accueille comme si vous étiez quelqu’un de très spécial, et il faut avouer que l’on se laisse volontiers séduire par cet étalage de pommade.

Sauf que… récemment, j’ai découvert des failles dans toutes ces machines si bien huilées.