The road taken...
Allez,
un autre petit clin d’œil d’angliciste, avec cet intitulé volé à Thomas Hardy, dont le
roman au titre original de « Far
from the Madding Crowd » (1874)
parlait de tout, sauf de la tranquillité des êtres.
Août
à Nice est une épreuve pour ceux et celles qui aiment le calme. Pourquoi
faut-il donc que les visiteurs étrangers se croient obligés de faire chez nous
tout le bruit qu’ils n’imposeraient jamais chez eux à leurs pires
ennemis ? Chaque année je me le demande, et tout ce que je trouve comme
solution, c’est la fuite, en attendant que ces sauvages-là aient repris le
chemin de leur grisaille. Hi hi, bien fait pour eux !
(image empruntée ici)