Voilà une injonction qui fait suite à la vague de protestations contre le harcèlement.
Il était bien temps que toutes et
tous (car ce dernier ne blesse pas que des femmes) se révoltent contre une
plaie semblable à celle que subissent certains enfants et adolescents en milieu
scolaire, sans jamais oser en parler. Les raisons sont les mêmes : la loi
du plus fort est toujours la meilleure ; la parole du faible se retournera
contre lui. Et contre elle. Ceci est intolérable.