Ce que je vais décrire aujourd'hui prouve que je ne suis pas un perdreau de l'année, ni même une perdrix de l'an dernier.
Je vais partager ici quelques souvenirs d'une Angleterre qui n'existe plus que dans les livres d'images... ou dans le souvenir de ceux et celles qui l'ont connue dans les années 50-60.
Pour y aller on prenait le plus souvent un ferry (que certains appelaient un ferry-boîte), après un trajet en train depuis la gare Saint-Lazare, à Paris. On embarquait à Calais, ou à Dieppe. Calais-Douvres (Dover) était plus court que Dieppe-Newhaven, et limitait donc les risques de mal de mer. Je m'aperçus maintes fois que la Manche peut être aussi redoutable, même en été, que la Méditerranée au large de Cannes !
Le bateau lui-même était tout de même plus impressionnant que le "bateau des îles" qui faisait la navette entre Cannes et Saint-Honorat (ou Sainte-Marguerite).