Un bien joli titre
pour illustrer ce billet gribouillé
En ces temps confinés, où l’horizon se rétrécit, où la moindre sortie demande des heures de réflexion, d’auto-justification et de justification, où chacun réfléchit avant tout à l’organisation quotidienne des repas, nous pourrions nous lamenter sur notre sort (commun et individuel) et ne plus voir que le bout de notre nez.
Pourtant cette période difficile, anxiogène, et tellement inconfortable pour les moins bien lotis – je pense à ceux et celles dont les conditions de vie sont précaires, qui vivent nombreux dans des appartements à la surface réduite, dont le budget est minimal et/ou les revenus menacés, ou pire qui sont sans abri – nous amène à faire quelques constats sur ce qui est important, le plus important : NOTRE PLANÈTE.