Un seul dîner a suffi à me convaincre que PASTRY
PLAISIRS était bien l’un des meilleurs endroits où aller manger à Nice en ce moment.
Le restaurant a tout pour plaire : un cadre
agréable, aux couleurs chaudes ; une salle aux dimensions humaines ; une
carte attrayante ; un service attentionné ; et, bien entendu, et c’est
l’essentiel : le contenu des assiettes est un vrai régal pour les
amateurs gourmands d'authenticité.
Le soir où nous y étions, j’ai opté pour un risotto
aux Saint-Jacques, et, promis, juré, je n’ai jamais mangé de riz aussi
parfaitement cuit et parfumé que celui-là. Fondant, crémeux, mettant joliment
en valeur sa garniture… Je n’en ai pas laissé un grain.
Les convives qui m’accompagnaient n’ont pas eu
l’air non plus de bouder leur plaisir. Je n'ai pas eu le temps de prendre leur assiette en photo, elle n'est pas restée intacte longtemps !
Pastry Plaisirs ? En voilà l’autre
explication :
L’endroit est réputé pour ses desserts, puisque le
chef, Louis Dubois, est un pâtissier de première, d’où le nom de l’endroit. Il a travaillé à
Londres, où on ne rigole pas avec la pâtisserie, c’est le moins qu’on puisse
dire. Surtout si l'on y est sous les ordres de M. Gagnaire !
La vitrine des desserts, donc, ferait tomber par terre n’importe quel
réfractaire au sucré, tant elle est appétissante. Perso, je la trouve plus
belle que celle de certaines bijouteries, c’est tout dire. Un casse ici, je
comprendrais - presque. M’enfin, je ne dois pas avoir les mêmes valeurs que les
cambrioleurs de la Croisette.
Pour me satisfaire, et en raison d’une petite
intolérance alimentaire sur laquelle je ne m’étendrai pas ici, il m’a concocté
une mousse au chocolat noir pour moi toute seule.
Je peux avouer que je n’en ai jamais mangé d’aussi
bonne non plus. Je ne sais pas ce que ce diable de chef a fait à ce chocolat –
sa compagne et acolyte, Aurore Parrant, m’a juste dit qu’il l’avait longuement fouetté, et pour
un tel résultat, je veux bien devenir maso – mais foi d’amateur de cacao, comme
disent les jeunes, le résultat, c’est une tuerie.
Ajoutez à cet accueil chaleureux, attentionné des
tarifs raisonnables (surtout à midi)… et vous n’aurez aucune excuse pour ne pas y courir.
Chiche qu’on s’y retrouve ?
Voir ICI pour les détails pratiques.
ATTENTION, FERMÉ LE SOIR, SAUF LES VENDREDI ET
SAMEDI. (Et fermé aussi tout le weekend de la Toussaint, hélas).
Super .... En effet ton texte et les photos donnent envie d'y courir !!! Miam
RépondreSupprimerBises
Georgette
La rue Delille devient un "must" de la gastronomie niçoise, semble-t-il. La Focaccia au n° 8 n'est pas mal non plus, m'a-t-on dit.
RépondreSupprimerOuiiiii !
SupprimerUne bonne recommandation, Cathie.
RépondreSupprimerMieux que "Trip Advisor", je crois ... et maintenant j'ai faim!