Ce festival du livre a été un tourbillon, comme souvent - et cela a été ma troisième participation !
Quelques photos pour illustrer le joli stand ombragé des Éditions OVADIA - AU PAYS RÊVÉ, sur lequel tous les auteurs de la maison ont accueilli les nombreux visiteurs amateurs de sciences humaines, d'art et de littérature. Il a fallu prendre une photo à l'ouverture, sinon, pas moyen de le voir convenablement.
Quelques photos pour illustrer le joli stand ombragé des Éditions OVADIA - AU PAYS RÊVÉ, sur lequel tous les auteurs de la maison ont accueilli les nombreux visiteurs amateurs de sciences humaines, d'art et de littérature. Il a fallu prendre une photo à l'ouverture, sinon, pas moyen de le voir convenablement.
Côté littérature, nous étions en "mode sardines", ou "brochette" ! Surtout le dimanche. Ici, en "mode pause", de gauche à droite: Christine Baron (Le soleil Foudroyé), Bernard Guiraud (Histoires Gratinées), et Tério, avec ses nombreux polars noirs aux couvertures alléchantes...
Petit zoom sur les miennes, de couvertures, avant et après le désordre - grâce à elles, les passants ont fait plus que passer, ils se sont arrêtés pour regarder ce qu'elles cachaient ! La suite, vous l'imaginez...
Merci donc à tous ceux et celles que j'ai rencontrés pendant ces trois folles journées. Les amis, et les inconnus. À celle qui est venue de si loin, exprès pour me soutenir sur ce Festival. À ceux qui me font le grand plaisir de suivre mon travail, et même de l'aimer (!) et puis à tous ceux qui prennent le risque d'aller à la rencontre d'un auteur peu connu. À ceux qui, surpris, m'ont reconnue derrière mon nom de plume (ou de clavier ?) et que je n'avais pas vus depuis longtemps. À celles qui ont pris le temps de se révéler, et d'échanger, avant de repartir avec un, voire deux de mes titres emballés dans un sac déjà chargé d'auteurs plus prestigieux. Aux journalistes en quête d'interviews d'écrivains disponibles ou abordables - et à une certaine blogueuse qui sait tenir ses promesses. Que d'émotions en si peu de temps.
Et puis, en marge de cette présence active sur le stand, il y a eu, ailleurs, des rencontres magiques... De celles que chaque lecteur aime faire, en voyant enfin, en vrai, l'auteur dont il et elle connaît et apprécie le travail depuis très longtemps. Chut. Je garde le secret sur les noms - À SUIVRE !
crédits photographiques : Jacques Lefebvre-Linetzky
Merci! C'est drôlement agréable d'avoir tes impressions à chaud sur ce qu'on a vu la veille!
RépondreSupprimerJ'attends la suite avec impatience...
Ana
N'oubliez pas, Catherine, il était une fois Marcel Pagnol, Emile Zola et Albert Camus sont inconnus! On imagine qu'il était intéressant d'être avec les écrivains d'un genre similaire?
RépondreSupprimerVous avez faites un point de vue intéressant ... en ces jours-ci, parlons-nous d'un 'nom de plume' ou devrions-nous parler d'un 'nom de clavier', ou même un 'nom d'ordinateur'?
Félicitations à Jacques pour les photos! On espère le Festival s'est bien passé pour vous?
Meilleurs vœux !
ritsonvaljos
(mon 'nom de plume).