--Et voilà derrière nous ces trois jours de folie !
On a eu un soleil torride le vendredi, de la pluie le samedi, et une journée normale le dimanche.
Ah bon, c'est pas la météo passée qui vous intéresse ?
Tout d'abord merci à tous ceux et celles qui sont venus ou revenus me voir sur le stand des Éditions Ovadia – dont l'équipe a été remarquable de gaieté et de gentillesse. Vu qu'elle a fait l'objet d'un encart dans Nice-Matin, je partage.
Cela fait chaud au cœur de penser que les amis ne se forcent pas pour découvrir mon dernier méfait. Et que plein d'inconnus prennent aussi le risque de partir avec celui là, ou un autre de la même famille. Surtout quand on pense au choix qu'il y avait sur ce festival !
Mais trêve de congratulations.
Quelques cancans croustillants :
David Foenkinos s'est laissé photographier plusieurs fois avec les petites mignonnes de l'équipe Ovadia. Je n'en mets pas la preuve, mais je vous garantis qu'il n'a pas davantage fait la grimace que le monsieur indien (des éditions Libréchange) qui est sur cette image.
Photo de Nice-Matin
J'ai découvert que l'estimable et honorable professeur André Giordan, co-auteur, avec José Maria, d'un merveilleux livre sur la cuisine niçoise contemporaine, était aussi adorable comme voisin de stand que compétent en botanique*, en plus d'être diplômé de pilou. Comment, vous ne connaissez pas le pilou ? Regardez un peu ici, en attendant mieux.
(*Oui, digression botanique, car si, comme moi, vous ignorez le nom de ces superbes arbres à la floraison mauve que l'on voit à présent un peu partout dans Nice, le voici : il s'agit d'un catalpa, de la famille des Bignoniaceae. On en apprend beaucoup quand on est bien placée sur un salon du livre !)
Plus chaud : On a surpris la délicate Colette Guedj à raconter sa première rencontre avec le mot "con-cu-pis-cence", à l'âge de 12 ans. Quand elle en a demandé le sens à sa maman, celle-ci lui a dit qu'il que ce terme n'existait pas. Colette a donc tout de suite compris qu'un mot qui comprenait ces quatre syllabes ne pouvait qu'être interdit, mais forcément intéressant ! Je cite approximativement, car cette merveille m'a été confiée cinq minutes avant la clôture, et nous étions tous cuits et raplapla. Mais voilà comment naît la passion pour le verbe ! J'oublie, cette citation X est protégée par le ©.
Dans la série "on picole l'air sérieux de bon matin avant le coup de feu", qu'est-ce qui rime avec Ovadia sur la table du bistrot ?
Vodka ! :-)
Symphonie en rouge - photo volée par J.L +L
Mon coup de cœur à retardement : Le Prix "Baie des Anges" d'il y a deux ans : Monsieur le Commandant, de Romain Slocombe, qui l'a signé pour moi avec une gentillesse délicate. Je ne l'avais qu'en e-version, et n'allais le laisser graver ses initiales sur mon i-Pad quand même !
Voilà, en plus de le recommander vivement, maintenant je vais pouvoir l'offrir. Qui dit que les e-books tuent les livres ? On les achète deux fois. Smile.
Mon coup de cœur "Histoire" : Le livre de Michèle Shlanger-Merowka, co-auteur, avec Katy Hazan, de "L'Odyssée d'un résistant", témoignage d'un centenaire, enfant d'Alsace : Georges Loinger. Un ouvrage superbement construit et documenté, en plus d'être une véritable leçon de vie. À lire et faire commander par tout CDI qui se respecte, en ces temps de laïcité malmenée.
Voilà, avec tous ces sourires, je ne peux que vous souhaiter à tous et à toutes de belles lectures et de merveilleuses rencontres... en vrai, comme en rêve.
Merci Catherine. Peut-être en parlerons-nous un jour...
RépondreSupprimerMaurice
Quel merveilleux week-end!
RépondreSupprimerJ'aime les chapeaux de soleil .... très chic, comme Sophia Loren ?
Amitiés,
Joseph.