C’est le titre choisi par
la journaliste de Nice-Matin, Alice Rousselot, qui est venue
« couvrir » ma rencontre de la semaine dernière au Lycée d’Estienne
d’Orves avec les élèves de Falmouth Academy, et je dois dire qu’elle a fait là
un très bel article, à la mesure de son attention ce jour-là. J’ai beaucoup
aimé sa façon à la fois discrète et présente de participer à cet événement si
important pour tous ceux qui étaient impliqués. Franchement, si la jeune garde
journalistique est à son image, je vais cesser de me faire du souci pour la
presse écrite ! Rien à voir avec les vautours dont j’ai parlé à propos de
George Clooney. Je plaisante à peine, et lui pardonne volontiers d’avoir oublié
l’orthographe un peu inhabituelle de mon prénom d’auteur, car elle a bien mis
l’accent sur le fait que cet échange sert à faire rayonner Nice
outre-Atlantique, et sur le rôle fondamental que tiennent l’écriture et la
lecture dans les relations humaines internationales.
Et je suis aussi très
flattée d’être définie comme faisant partie de la « littérature
niçoise », vu que dans la même édition une page est consacrée aux
manuscrits de Louis Nucéra, et un autre article au grand écrivain qu’est
Colette Guedj, pour son intervention à la Médiathèque de Saint Jean Cap Ferrat
dans le cadre du printemps des poètes. Belle semaine.